Concepts sur la nature de l'intelligence
Selon Thesaurus, être intelligent implique très de base liée à la vitesse et agilité de l'esprit, ainsi que des processus très complexes tels que le raisonnement, le discernement ou la compréhension ... Etre intelligent implique: la capacité d'acquérir et d'appliquer des connaissances. La faculté de penser et de raisonner.
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La capacité de comprendre et de tirer profit de l'expérience. L'intelligence est un bien qui nous aide à mieux nous connecter à notre environnement, à apprendre et à utiliser ce que nous avons appris, grâce à notre capacité à élaborer de manière cognitive ce qui se passe et à extraire des informations précieuses de l'expérience. Principaux courants dans l'étude des différences individuelles d'intelligence. Plusieurs modèles théoriques expliquant le développement de l'intelligence sont regroupés en fonction des objectifs et des méthodes de recherche utilisés. Les concepts d’intelligence A, B (Hebb) et C (Vernon), métaphores du renseignement de Sternberg, en constituent deux des principaux groupes d’utilité.
L'INTELLIGENCE A, B, C
- Intelligence A: potentiel inné que chaque individu possède pour pouvoir apprendre et s’adapter à l’environnement, étant nécessaire au développement intellectuel. Ce potentiel serait déterminé génétiquement et serait essentiellement médiatisé par la complexité et la plasticité du système nerveux central, son substrat biologique fondamental..
- Intelligence B: manifestation de l'intelligence des individus dans leur vie quotidienne. Conception proche de "l'intelligence pratique" ou "intelligence sociale".
- Intelligence C: Le "psychométrique", qui mesurent les tests de QI. Les auteurs qui défendent les modèles biologiques soutiennent que l'intelligence A est pure, non contaminée par des facteurs "externes" de caractère, de motivation ou de culture. D’autres, des théories cognitives actuelles qui se concentrent sur les différences cognitives différenciant les personnes, affirment que le véritable problème de la compréhension et de la mesure appropriée de l’intelligence ne peut pas être traité, tandis que les processus biologiques et physiologiques et les mécanismes les sous-tendent ne sont pas étudiés.
Une autre ligne, la critique des modèles réductionnistes, prône l’intelligence de type B, dans la mesure où elle inclut des aspects très pertinents pour la vie quotidienne que l’intelligence biologique, et même l’intelligence psychométrique, ne prévoient.